L’IA Générative, un mea culpa
Lors de mon billet de blog précédent (qui date), je faisais une critique négative de l’intelligence artificielle et, notamment, de l’IA générative.
Certains points de cette critique restent vrais : cela ne pousse pas à la singularité. Toutefois, après la prise en main plus poussée et son incorporation à plusieurs projets, il s’agit d’un outil performant.
En effet, il s’agit d’un outil.
Si l’on prend ChatGPT, il permet de générer simplement du texte en fonction du prompt. Avec la donnée nécessaire, il permet de synthétiser et styliser au choix un ensemble de texte. Autre exemple, Midjourney (une IA permettant de générer une image en fonction d’un prompt) permet de laisser libre court à son imagination sans maîtrise du dessin ou de la création graphique.
Comme tout outil nouveau, cela génère frictions et appréhensions.
Au tout début de mon parcours professionnel, un de mes supérieurs m’a dit en m’incitant à maîtriser Excel :
Un ordinateur te permet d’automatiser une tâche répétitive
Dans notre cas, la tâche est la création de contenu et l’exploitation de contenu.
Les différents exemples de frictions que j’ai déjà évoqués en sont un exemple parfait.
Finalement, je réitère mon conseil de l’époque, les personnes qui sauront comprendre et tirer parti de l’IA profiteront de cette évolution.